Divertissement

« L’amour est dans le pré » sur M6 : rien ne va plus avec Murielle, Pascal déchante

Lors de l’épisode 4 de « L’amour est dans le pré », les téléspectateurs avaient laissé Pascal, le doudou de cette nouvelle fournée de prétendants en quête de l’âme sœur, en plein coup de foudre et de roucoulements. Lors du speed dating, cet éleveur de bovins de boucherie n’avait reçu que deux lettres.

Après les avoir ouvertes devant Karine Le Marchand, ce garçon très timide qui vient de vaincre les démons de l’alcoolisme avait choisi la pétillante Murielle et avait décidé de ne pas laisser sa chance à Véronique, très maladroite dans l’échange avec lui. Son heureuse élue lui promettant un brillant avenir, le célibataire n’a gardé qu’elle et a donc pris un risque… qu’il aurait peut-être dû éviter.

Ce lundi soir, nous retrouvons Murielle qui débarque chez « Pascalou » dans les Deux-Sèvres. Elle est plutôt très chargée, arrive avec plusieurs valises lourdes, emportant même de chez elle, des herbes de sa cuisine et sa propre serviette pour le dîner. Pour le moment, rien de grave.

Mais dès ses premiers pas dans la maison, pourtant bien rangée, elle commence à tout critiquer. A commencer par la décoration. « Quand j’ai vu ton portrait, quand on a fait la visite, j’ai vu un peu de ton intérieur, je me suis dit Oh, il y a des choses à changer chez Pascal, il lui faut une femme », dit-elle en préambule, tout en précisant que « c’est propre ».

Une longue salve de reproches… tout en souriant

Un premier avertissement avant une longue salve de reproches, toujours souriants. Tout y est. Le canapé ? « Il est trop grand. » Le bouquet de fleurs sur la table ? « Ça pue, l’odeur m’enivre le cerveau et va me donner mal à la tête. »

Et elle enchaîne les remarques désagréables comme le fait que les orchidées ont fané, que le poêle à pellets commandé par Pascal n’est pas vraiment une bonne idée et que le sirop qu’il lui propose à l’apéro lui démange les papilles ! Pas question non plus d’aller déjeuner en terrasse faute de parasol. Bref, rien ne va plus.

Alors que la caméra avance, le visage de Pascal se décompose. « Elle est géniale. Elle a des remarques qui me gênent un peu. Des remarques sur la maison, ceci, cela, sur les affaires. Un peu trop autoritaire au début, mais ça va marcher », tente-t-il de se convaincre, bon enfant.

« Je suis unique en mon genre »

Au moment du repas, les choses ne s’améliorent pas. Pascal avait prévu au menu, « un steak de sa vache » » et des haricots verts. Malheureusement, ça ne passera pas non plus, malgré la simplicité du plat. « J’ai une colite ulcéreuse, qui provoque une inflammation de mes intestins. Je n’ai pas le droit de manger des haricots verts, ni des haricots avec une coque ou une peau. Si j’en mange, c’est comme une gastro-entérite. J’adore les choux de Bruxelles, mais si j’en mange, je me vide », lui dit-elle, sans lui laisser plus de mystère. Et d’ajouter : « Et d’ailleurs, mes horaires de repas sont les mêmes, ils doivent être assez réguliers. Je ne peux pas manger à 22 heures le soir. »

Devant l’expression désormais abattue de Pascal, elle avoue : « Alors oui, tu n’es pas tombé sur quelqu’un de simple, tu es tombé sur quelqu’un de spécial. Je suis unique en mon genre. » Pascal encaisse. « Elle est difficile en matière de nourriture, son régime est particulier », avoue-t-il face caméra. Mais Murielle continue en repoussant la chaise : « Ah, tu n’as pas mis de tampons sous les chaises, ça fait du bruit. » Comment pourra-t-il supporter un tel comportement ? Le coup de foudre va-t-il tout emporter sur son passage ? Affaire à suivre.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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