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« Nous soupçonnons que c’est ce qui serait mis en évidence, il est regrettable pour les victimes car cela leur vole un peu le spectacle », a déclaré Alain Esquerre mercredi à l’AFP, après avoir parlé à Hélène Pélant.
Le témoignage de la fille de François Bayrou, dévoilé dans la presse avant la sortie d’un livre sur l’affaire Betharram, « Knoes le spectacle un peu » Aux victimes, regretté le mercredi 23 avril 2025 leur porte-parole et auteur du livre, Alain Esquerre.
Dans une interview Match de Paris Mardi, Hélène Péllant, la plus âgée du Premier ministre, révèle que les adolescents, lors d’un camp de vacances dans les Pyrénées, avaient subi la violence physique d’un prêtre paroissial officiant régulièrement au collège des filles dirigées par la congrégation religieuse au cœur du scandale, où elle a été éduquée.
« Ça vole un peu leur spectacle »
« Nous soupçonnons que c’est ce qui serait mis en avant, il est regrettable pour les victimes car cela vole un peu le spectacle »a déclaré Alain Esquerre mercredi à l’AFP, après avoir parlé à Hélène Pélant. Elle est « Très ennuyé par cet article publié avant la publication du livre »Il a ajouté. « C’est très injuste, tout le monde parle du match de Paris, le livre n’est presque plus rapporté. »
L’avant-dernier chapitre du travail d’Alain Esquerre est consacré à la fille de François Bayrou, dans laquelle elle témoigne de ce qui lui est arrivé dans le passé. C’est elle qui avait pris l’initiative de le contacter le 21 février. Selon le livre, elle lui a immédiatement dit qu’elle ne le faisait pas pour parler du « Scandale de Bayrou »mais pour partager ses réflexions sur le « Déni collectif » qui a entouré la violence commise à Betharram pendant des décennies. Ce même 21 février, une plainte contre François Bayrou avait été déposée pour « Non-dénonciation du crime et du crime ». Le journal Sud-ouest avait fait écho pendant la journée en interrogeant Hélène Péllant.
« Mais la violence sexuelle, jamais »
La plaignante, ancienne résidente de Betharram, a parlé d’une scène de violence dont elle avait été témoin dans les années 1980, croyant qu’elle l’avait nécessairement signalée à ses parents. L’épisode est également mentionné dans le Livre d’Alain Esquerre et cette plainte est toujours sous traitement lors de la poursuite de PAU. « Celui qui me fera mélanger mes enfants avec tout cela n’est pas né »avait réagi le Premier ministre le même jour avec Sud-ouestL’article le dit « Très en colère ». Le 15 février à Pau, à la fin d’une réunion avec le collectif des victimes de Betharram, François Bayrou avait déclaré « C’est une de ses filles » lui avait parlé « Slaps et ce genre de chose » Dans le passé, « Mais la violence sexuelle, jamais ».