DÉCRYPTAGE – Après des mois de bras de fer entre le gouvernement et la mairie de Paris, le Groupe ADP et la start-up allemande Volocopter ont finalement renoncé à faire voler le Volocity dans le ciel parisien.
L’image devait faire le tour du monde : des taxis volants dans le ciel de Paris pendant les JO. La capitale française devait devenir la première au monde à expérimenter ce nouveau moyen de mobilité aérienne urbaine. De quoi perpétuer l’image de la France – le pays des frères Montgolfier et de Clément Ader, le père de l’aéronautique – toujours pionnière et à la pointe de la technologie. C’est raté. Les taxis volants ne feront pas partie des moments forts des JO de Paris avec sa cérémonie d’ouverture inédite sur la Seine, les animations organisées au pied des plus beaux monuments de Paris ou encore ce chaudron, porteur d’une flamme électrique, qui, chaque soir, s’élève dans le ciel de la capitale des jeux d’été.
La promesse était belle mais elle n’a pas été tenue…
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