la trace d’une tentative d’ingérence russe
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L’enquête sur la dégradation du mémorial de la Shoah à Paris avance. Il s’agirait d’une tentative de déstabilisation menée par Moscou.
Des mains rouges peintes sur le mémorial de la Shoah pour dénoncer les morts à Gaza : ces dessins, effacés depuis, ont été peints à la bombe dans la nuit du 13 au 14 mai. Reste désormais à savoir qui se cache derrière. L’hypothèse des enquêteurs serait qu’il s’agit d’une ingérence de la Russie. Des caméras de vidéosurveillance ont filmé la scène. Les enquêteurs ont réussi à identifier les coupables. Ils ont pris la fuite en bus depuis la gare de Bercy, direction la Belgique. Il s’agit de trois Bulgares qui auraient obéi aux ordres de Moscou.
Un écrin qui n’est pas sans rappeler les étoiles de David peintes sur les façades des immeubles parisiens. Les enquêteurs ont repéré des Moldaves dont certains ont pris la fuite en bus et via la gare de Bercy. La police estime également que la Russie se cache derrière d’autres tags sur l’Île de la Cité et liés aux Jeux Olympiques.