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La Seine n’était pas baignable à un point de contrôle avant le relais mixte des JO de Paris 2024, les triathlètes ont quand même accepté de nager

Les triathlètes ont été informés des analyses de l’eau de la Seine en amont du relais mixte lundi, avec notamment le dépassement des niveaux réglementaires à l’un des quatre points de contrôle. « Ces résultats ont été présentés aux athlètes et il n’y a eu aucune objection à la natation. » de leur côté, a indiqué la porte-parole du comité d’organisation des JO, Anne Descamps, lors d’un point de presse.

Après l’annulation de deux entraînements ce week-end parce que la Seine n’était pas assez propre, la Fédération internationale de triathlon (World Triathlon) a décidé dimanche soir de maintenir la course, selon les organisateurs. Toutefois, peu avant l’annonce de cette décision de maintenir le relais mixte, le Comité olympique belge avait indiqué que sa triathlète Claire Michel était tombée malade, ravivant les interrogations sur la salubrité du fleuve.

En règle générale, cette décision de tenir ou non la course est prise de nuit, quelques heures avant, en fonction d’analyses datant de 24 heures, ainsi que de critères tels que l’odeur, l’aspect de l’eau et la météo des dernières heures. Ce système permet de savoir avec certitude, après coup, si l’eau était baignable ou non au moment précis de l’événement.

Interrogée sur les motifs de cette décision dimanche soir, Anne Descamps, porte-parole du COJO, a déclaré :  » météo «  Et « analyses prédictives »Elle a lu aux journalistes ce qui avait été communiqué aux athlètes lundi matin par World Triathlon : la décision a été prise parce que « amélioration continue de la qualité de l’eau après les fortes pluies survenues en région parisienne les 1er et 2 août »de « Un temps ensoleillé le 4 août avec des températures élevées ».

Elle a également mentionné « les résultats des analyses du 4 août à 5h30 du matin effectuées aux quatre points de collecte variaient de 727 à 1 553 UFC/ml » pour la bactérie E. coli, la plus problématique. Le seuil réglementaire est fixé à 1 000. Le taux de 1 553 était donc plus élevé, mais il ne s’agissait que d’un des quatre points de contrôle et, pour ce point problématique, un deuxième laboratoire mesurait tous les taux inférieurs au seuil, selon le texte lu par Mme Descamps.

Cammile Bussière

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