Laurens (N’oubliez pas les paroles) : ce « problème de riche » auquel il a été confronté

C’est ton premier Tournoi des Maestros. Heureux ?

Laurent : C’est comme un rêve ! Je les regardais chaque année et ça m’amuse de voir ces épreuves un peu folles qui mettent en difficulté les Maestros.

Prêt à combattre?

Prêt à vous amuser et à rencontrer les Maestros. Cela m’a fait plaisir de revoir Margaux, dont j’ai failli atteindre le score (59 victoires, ndlr) et tous ceux que j’avais vus à la télé. J’avais l’impression que nous nous connaissions depuis toujours.

Avez-vous rencontré des chansons compliquées ?

C’est plutôt une question de niveau des adversaires. Dans l’émission quotidienne, tout le monde n’a pas mille chansons en mémoire. Lorsque vous entrez dans le groupe Maestros, c’est le minimum requis. Le niveau est vraiment très élevé.

Y a-t-il eu des difficultés qui vous ont mis en danger ?

Il y a des nouveautés, comme chaque année. Je ne vais pas les dévoiler mais je peux vous dire qu’il y a beaucoup plus de chance que lors des tournois précédents.

Est-ce que ça fait une différence de chanter en équipe ?

C’est passionnant de discuter de stratégie. Mais ça reste de la bonne humeur. Nous sommes en compétition, mais sans compétition.

Tu as été battu le 30 novembre. Avez-vous continué à regarder l’émission ?

Bien sûr ! Ce qui a changé, c’est qu’avant, quand je voyais certains matches où je pensais pouvoir gagner, j’étais frustré. Je l’apprécie toujours autant, et cela m’amuse de reconnaître les personnes que j’ai rencontrées.

Vous avez gagné 457 000 €. Quels rêves allez-vous réaliser ?

J’ai l’intention de faire ceux de mes parents. Mon père rêve de l’Australie et ma mère des États-Unis. Mais lors de mes dixième, vingtième et trentième victoires, j’ai gagné des voyages qui ont une date d’expiration. (Il rit.) Je ne pensais pas avoir un jour le problème d’un homme riche !