Selon les informations publiées par Les échos, Renault aurait formalisé plusieurs nouveaux partenariats pour fournir des batteries LFP (lithium-fer-phosphate). Ce choix stratégique marque un tournant pour la marque au losange, qui privilégiait jusqu’ici la technologie NMC (nickel-manganèse-cobalt) pour ses véhicules électriques, privilégiant l’autonomie comme principal argument de vente.
L’adoption du LFP, moins cher à produire que le NMC, s’inscrit nécessairement dans une logique de réduction des coûts de production pour Renault. Le choix des fournisseurs de batteries LFP semble s’orienter vers les entreprises coréennes, et non vers le partenaire historique de Renault, AESC Envision (société sino-japonaise), qui a décliné l’offre de production de LFP dans son usine de Douai. .