L’idée de donner une suite à son personnage déjanté Fatal Bazooka trottait dans la tête de Michaël Youn depuis plusieurs années. Car le premier opus avait séduit près de deux millions de Français à sa sortie en salles, pour une recette d’un peu plus de neuf millions d’euros, selon le site dédié aux statistiques du cinéma JP Box-Office. Ce long-métrage suivait les aventures de Fatal Bazooka, un rappeur bling-bling à succès (et caricaturé à souhait) jusqu’au jour où un chanteur de « électro-bio« , Chris Prollsa, interprété par Stéphane Rousseau, est venu voler la vedette et prendre sa précieuse place en tant que « numéro un« .
En plus du film critiquant l’industrie musicale, Michaël Youn a sorti plusieurs albums sous le nom Fatal Bazooka, et des singles phares tels que Parle à ma main Ou Mauvaise foi nocturne. Il parodie les styles de clips vidéo et de chansons rap de l’époque, quelques années avant les célèbres vidéos YouTube de Palmashow.
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