La Cour royale norvégienne a annoncé que la princesse héritière Mette-Marit devait reprendre le traitement de sa maladie pulmonaire chronique. De par ses expériences passées, l’épouse de l’héritier du trône sait que le traitement peut entraîner des complications l’obligeant à ralentir son rythme de travail.
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Mette-Marit de Norvège reprend son traitement contre la fibrose pulmonaire chronique
La princesse héritière Mette-Marit de Norvège, 51 ans, a reçu un diagnostic de maladie en 2018. Le diagnostic a été immédiatement rendu public. Mette-Marit souffre de fibrose pulmonaire idiopathique, qui est une inflammation et une cicatrisation des poumons. Régulièrement, la belle-fille du roi Harald V doit annuler ou écourter ses engagements en raison de sa maladie. Par exemple, en septembre 2022, elle a dû mettre fin à un engagement public qu’elle prenait auprès de la Croix-Rouge.
Ce 11 octobre 2024, la Cour royale de Norvège a publié un communiqué pour annoncer que la princesse héritière Mette-Marit devait reprendre son traitement. « Concrètement, la maladie provoque une cicatrisation anormale des tissus situés à l’intérieur des poumons et autour des alvéoles, ainsi que des vaisseaux sanguins des poumons. Ceux-ci s’épaississent et se raidissent. Une telle cicatrice s’appelle fibrose »explique Vivre avec le FPI.
La Cour Royale annonce que des aménagements du planning de la princesse héritière sont à prévoir. Les annulations et reports de ses sorties seront annoncés ultérieurement, si nécessaire. Le traitement est restrictif et peut « provoquer des effets secondaires pouvant avoir des conséquences sur le programme officiel de la princesse héritière »explique la Cour.
