Brest, qui incarne son barrage de retour de la Ligue des champions mercredi soir sur la pelouse du PSG, a terminé son compte bancaire grâce à sa toute première participation aux compétitions de la reine des européennes.
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/2025/02/19/000-34n44g2-1-67b57fb10aded926981386.jpg)
La première aventure européenne de l’histoire du stade Brestois a commencé le 19 septembre. Il y a de très bonnes chances, cinq mois plus tard, qu’elle se termine le mercredi 19 février. Les Bretons trouvent le Paris Saint-Germain au Parc des Princes à 9 PM, dans le retour des barrages de l’adhésion aux stades à élimination directe de la Ligue des champions. La semaine dernière, lors du match aller, ils ont été battus 3 buts à 0, à domicile. Pour Brest, vous auriez besoin d’un miracle.
Mais arriver à cette étape de la compétition est déjà un exploit, grâce à une phase européenne particulièrement réussie. Si le Breton Club a conquis le cœur des Français, il a également terminé son compte bancaire.
Dès la première victoire contre Sturm Graz, l’entraîneur Eric Roy a commencé à compter les points, mais aussi les Euros: « 700 000 euros le point, moi aussi je peux compter. » Treize points, plus la qualification est de qualification, plus les différents bonus: la tirelire du Breton se remplissait donc rapidement.
Un club au niveau du club, analyse l’économiste du sport Pierre Rondeau: « Nous pouvons estimer l’évaluation de la participation à 51 millions d’euros pour le Breton Club. Et à cela, nous pouvons toujours ajouter des revenus de billetterie. C’est une somme plus importante que son budget de 48 millions d’euros, ce qui est extraordinaire et exceptionnel. »
Ce qui prévoit, à Brittany, un avenir qui promet d’être plutôt sombre pour de nombreux autres clubs français, continue Pierre Rondeau: « Il est vrai que cela représente beaucoup d’argent et il est évident qu’à Brest, pour l’année prochaine et les deux prochaines saisons, nous pouvons voir venir. Bien qu’il y ait de nombreux clubs qui se posent comment faire pour les prochains mois , car il y a beaucoup d’incertitude, sur les droits télévisés et les autres.« »
Même en cas d’élimination probable, mercredi soir, le Brestois Stadium Woolen Bottom pourrait continuer de se développer, toujours dans la course dans le coupé de France comme pour les carrés de championnat d’Europe.
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