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la porte-parole du gouvernement plaide pour des conseils de discipline « dès le primaire »

la porte-parole du gouvernement plaide pour des conseils de discipline « dès le primaire »

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Violences autour des écoles : le porte-parole du gouvernement évoque l'idée de "mise en place très précoce de conseils de discipline", "de l'école primaire"

Violences autour des écoles : le porte-parole du gouvernement évoque l’idée de « mettre en place très tôt des conseils de discipline », « dès l’école primaire »

Violences autour des écoles : le porte-parole du gouvernement évoque l’idée de « mettre en place très tôt des conseils de discipline », « dès l’école primaire »

(France2)

Le porte-parole du gouvernement et ministre délégué chargé du Renouveau démocratique était l’invité de « 4 Vérités » sur France 2, lundi 8 avril.

Quatre personnes ont été mises en examen pour « assassinat », dans la nuit du dimanche 7 au lundi 8 avril, après la mort de Shamseddine, un adolescent de 15 ans grièvement battu devant son collège à Viry-Châtillon (Essonne), JEUDI. . D’autres cas de violence autour des écoles se sont produits récemment. Après avoir adressé son soutien et sa solidarité à la famille de Shamseddine, à ses amis et au personnel éducatif de son école, Prisca Thévenot, porte-parole du gouvernement, a déclaré, dans les « 4 Vérités » de France 2, lundi 8 avril, « Ce qui est en jeu, c’est une réponse et une action. »

« Responsabiliser » les « adultes autour de l’enfant »

« Nous devons pouvoir agir avant que cela ne dégénère », estime le ministre délégué chargé du Renouveau démocratique. Prisca Thevenot suggère par exemple «la mise en place très précoce de conseils de discipline», « de l’école primaire », alors qu’aujourd’hui ils n’existent qu’à partir du collège. Outre le fait de « mettre une sanction »un conseil de discipline permet également de « à un moment donné, responsabiliser tous les adultes autour de l’enfant et se rendre compte qu’il y a quelque chose qui ne va pas », argumente-t-elle. Une proposition déjà avancée par le Premier ministre, Gabriel Attal.

Le porte-parole du gouvernement a également évoqué le rôle des réseaux sociaux comme catalyseurs du harcèlement et de la violence. Faut-il interdire l’accès aux téléphones portables à l’université ? « Je pense qu’on devrait pouvoir aborder ce sujet sans totem ni tabou »estime le porte-parole du gouvernement. « Il existe déjà des établissements qui testent ce type de dispositif ».

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