La police a été appelée sur place par l’UvA, qui a signalé des destructions par des manifestants.
Sarah Bracke, professeur de sociologie du genre et de la sexualité à l’UvA, a déclaré sur X qu’elle et ses collègues étaient « horrifié » par les actions du conseil d’administration de l’université.
« Pendant trois jours consécutifs, ils ont autorisé une violence policière extrême envers leur propre personnel et leurs étudiants, qui étaient engagés dans une manifestation non violente sur le campus contre la complicité de l’UvA dans le génocide en cours à Gaza », indique le communiqué.
« Nous sommes choqués par le mépris absolu, le manque de respect et le manque de volonté général du conseil scolaire envers ses étudiants et son personnel. »
Lundi soir dernier, la police néerlandaise a arrêté plus de 100 personnes alors qu’elle démantelait un campement à l’université.
Ces dernières semaines, des manifestations contre l’attaque israélienne contre Gaza ont eu lieu sur les campus européens.