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La police locale a repéré le tireur plus d’une heure avant la fusillade

Le candidat républicain à la présidentielle a été blessé par balle au début d’un meeting de campagne en Pennsylvanie le 13 juillet dernier. Un spectateur a été tué et deux autres blessés.

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Donald Trump est évacué d'un rassemblement en Pennsylvanie après avoir échappé à une tentative d'assassinat, le 13 juillet 2024. (REBECCA DROKE / AFP)

Donald Trump sera bientôt interrogé comme « victime » par le Federal Bureau of Investigation (FBI) américain après avoir été la cible d’une tentative d’assassinat le 13 juillet. Les fusillades ont entraîné la mort d’un participant d’une cinquantaine d’années et blessé deux autres personnes.

L’enquête se poursuit sur cet événement sensationnel, qui a donné lieu à un déluge de critiques visant les services secrets, chargés de protéger le candidat à la présidentielle. New York Times révèle que le tireur avait été repéré pour la première fois, une heure et demie avant d’ouvrir le feu sur le milliardaire.

Le 13 juillet à 16h26, un suspect a été repéré par la police locale assis sur une table de pique-nique. Son comportement a donné lieu à des messages texte révélés par la police. New York Times. « Il a observé notre présence »« Un officier a déclaré cela à ses collègues. Quatre-vingt-dix minutes plus tard, c’est ce même Thomas Crooks qui ouvrirait le feu sur Donald Trump.

Plus de deux semaines après l’incident, les failles du dispositif de sécurité déployé autour de l’ancien président continuent d’apparaître. Thomas Crooks avait souvent une longueur d’avance, explique le New York Times. Ce jeune homme de 20 ans « très intelligent » Et « solitaire », selon le FBI, aurait cherché à savoir à quelle distance de John Fitzgerald Kennedy se trouvait son assassin Lee Harvey Oswald, à Dallas (Texas) le 22 novembre 1963.

Une chose continue cependant d’échapper aux enquêteurs : le motif précis de sa tentative d’assassinat reste un mystère.

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