Divertissement

« La période impose à la fois des exigences et un grand respect » : critiquée après son interview dans « Quotidien », Apolline de Malherbe explique

A la veille du premier tour des élections législatives de 2024, Apolline de Malherbe et David Pujadas étaient les invités du plateau de « Quotidien » ce vendredi 28 juin. En cette période électorale, les deux journalistes que l’on connaît respectivement sur les chaînes BFM/RMC et LCI ont été interrogés sur leurs émissions qui traitent quotidiennement de l’actualité liée au scrutin. Alors que l’ancien présentateur du journal de France 2 a déclaré ne plus utiliser le terme «extrème droite » Pour désigner le Rassemblement national depuis les débats européens, la présentatrice de l’émission matinale de RMC a souligné qu’elle préférait désigner les partis par leur nom.

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Une séquence qui a provoqué une énorme réaction

Interloqués par leurs points de vue, certains de leurs collègues n’ont pas manqué de les épingler sur X, anciennement Twitter. « Mal nommer les choses, c’est ajouter à la misère du monde » a réagi Salhia Brakhlia, égérie de Franc Info, citant Albert Camus. « « C’est symptomatique d’une pratique du journalisme qui se contente de commentaires et de réactions à chaud plutôt que d’un travail en profondeur sur les histoires et les projets des partis. »a souligné à son tour Abel Mestre, journaliste du Monde.

A l’antenne ce vendredi, la cheffe du service politique de France Inter, Yaël Goosz, avait notamment précisé que « le Conseil d’État » avait « a placé le RN à l’extrême droite mais pas LFI à l’extrême gauche. » Attaquée de toutes parts, Apolline de Malherbe a voulu prolonger le débat au lendemain de sa visite pour défendre son choix éditorial.

Apolline de Malherbe met les pieds dans le plat

« DDevons-nous, en tant que journalistes, nous contenter de répéter ce que dit le ministère de l’Intérieur, avec le cachet du Conseil d’État ?a-t-elle demandé sur le Web ce samedi 29 juin 2024. « Doit-on se contenter de ce que dit le ministère sur le nombre de manifestants lors d’une manifestation ? »

Et pour compléter : « Qu’est-ce qui serait ou ne serait pas une « violence policière » ? Et se contenter de répéter ce que le ministère décide de la couleur des partis ? Ou devrions-nous observer nous-mêmes les faits, qui ne sont pas figés, et qui font constamment bouger les lignes ? »

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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