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La grande année de Lafrenière approche-t-elle ?


La saison 2024-25 pourrait marquer la véritable émergence d’Alexis Lafrenière comme attaquant de premier plan dans la Ligue nationale de hockey (LNH), mais pour que cela se produise, quelques conditions devront être remplies.

Le numéro 13 a connu une très bonne deuxième moitié de campagne l’an dernier, terminant avec une récolte de 28 buts et 29 passes pour 57 points en 82 matchs. Bien sûr, s’il veut présenter d’autres statistiques éblouissantes lors du prochain calendrier, il devra se montrer convaincant dès la première mise en jeu.

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Ensuite, obtenir plus de temps en avantage numérique, possiblement sur l’unité principale cette fois, est l’un des ingrédients de la recette pour une performance accrue de Lafrenière. Le principal joueur en question ne refusera pas une promotion à ce chapitre. Il n’a marqué que deux buts avec un homme de plus en 2023-2024 et s’il parvient à convaincre l’entraîneur-chef Peter Laviolette de l’utiliser plus souvent, ses statistiques pourraient monter en flèche.

« Ça ne change pas vraiment ce que je dois accomplir. Quand j’entends mon nom, il faut jouer du bon hockey. (…) Mais je ne dirais pas non. N’importe quel joueur voudrait ça. Cependant, je ne m’en soucie pas trop. Je veux être compétitif pour permettre au club de connaître du succès », a-t-il déclaré dans une entrevue accordée à la chaîne YouTube des Rangers il y a quelques jours.

« C’est très simple : il faut s’améliorer chaque année, franchir une nouvelle étape et performer davantage. Il s’agit de miser sur un jeu plus complet, tout en aidant l’équipe à gagner », a-t-il aussi dit, soulignant l’importance de travailler son coup de patin et ses habiletés.

Programme de quotas

Bien sûr, il y a beaucoup de candidats de qualité à New York pour jouer en avantage numérique. Artemi Panarin, Chris Kreider, Mika Zibanejad et Vincent Trocheck ont ​​fait leurs preuves. Mais rien n’est perdu ici pour le joueur de 22 ans.

« Notre jeu de puissance et notre infériorité numérique ont été excellents l’an dernier (nous avons terminé troisièmes de la LNH dans chaque cas). Pour gagner collectivement, il faut qu’ils le soient. Notre attaque à cinq joueurs a produit à un rythme élevé. C’est à cela que sert le camp d’entraînement : on peut regarder différents individus à différents endroits. On essaie de trouver l’équilibre avec ce qui fonctionne et de mélanger le tout pour aller de l’avant », a expliqué le pilote au quotidien. Le New York Post.

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Eleon Lass

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