« La France a décidé qu'on pouvait nous sacrifier » : l'UGVC et le monde du cognac haussent le ton, à la veille d'un vote européen crucial sur les véhicules électriques chinois
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« La France a décidé qu’on pouvait nous sacrifier » : l’UGVC et le monde du cognac haussent le ton, à la veille d’un vote européen crucial sur les véhicules électriques chinois

« La France a décidé qu’on pouvait nous sacrifier » : l’UGVC et le monde du cognac haussent le ton, à la veille d’un vote européen crucial sur les véhicules électriques chinois

Face à cet horizon, le secteur a manifesté massivement le 17 septembre. Elle s’estime désormais complètement abandonnée par le gouvernement, qu’elle accuse implicitement d’avoir été complètement exploité. « La France accepte clairement le fait de n’avoir même pas cherché à décaler les échéances pour laisser une marge de négociation », écrit le président du syndicat ou encore, « pour défendre la seule filière franco-française, prise en otage sur un dossier qui concerne l’ensemble de la filière ». Europe.

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L’UGVC tombe d’en haut se disant « très déçue et en colère », et promet de nouvelles actions à venir « si aucun plan d’action précis ne nous est présenté ». Cependant, le syndicat tarde, cette éventuelle reprise du mouvement de contestation n’interviendrait pas avant la fin des récoltes.

En revanche, la protestation pourrait monter d’un cran, avec des actions qui « ne laisseront aux autorités d’autre choix que de changer leur attitude irresponsable à notre égard ». D’ici là, Anthony Brun espère obtenir de nouvelles nominations à Matignon, au ministère de l’Agriculture et au Sénat et surtout, que les Etats européens votent « contre la guerre des enchères » ce vendredi.

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