Les nouvelles les plus importantes de la journée

la flamme olympique ira aux Antilles en trimaran avec Marie-José Pérec et huit autres personnalités

Marie-José Pérec pose avec la lanterne olympique, le 8 avril 2024.

Du 7 au 16 juin, la flamme olympique prendra le large, avec du beau monde à ses côtés. Neuf personnalités, dont les athlètes Marie-José Pérec, Laura Flessel et Tony Estanguet, le dramaturge Alexis Michalik et le chef Hugo Roellinger, feront partie de ce « Relais des Océans » entre Brest et les Antilles, ont annoncé les organisateurs lundi 8 avril.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Paris 2024 : la fabrication de la torche olympique ravive la flamme ArcelorMittal à Florange

La flamme, qui arrivera le 8 mai sur le sol français, à Marseille, embarquera à bord du Maxi-Banque-Populaire-XIl’un des trimarans les plus rapides au monde, qui effectuera dans un premier temps une traversée d’une semaine entre Brest et Pointe-à-Pitre, avec une arrivée prévue le 15 juin.

Le bateau sera piloté par Armel Le Cléac’h, qui a récemment terminé troisième de l’Ultim Challenge, course autour du monde en solitaire en trimaran, et par Sébastien Josse, son partenaire lors de la Transat Jacques Vabre remportée en 2023. Marie-José Pérec, Miss France 2013, Marine Ltemporel, Alexis Michalik et Hugo Roellinger feront partie de ce premier équipage qui atteindra la Guadeloupe.

Une lanterne pour la flamme

Puis, les 15 et 16 juin, le trimaran embarquera à son bord le président du comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques, Tony Estanguet, l’ancienne escrimeuse Laura Flessel, la nageuse Coralie Balmy, le skipper Kéni Piperol-Dampied et le surfeur. Thomas Debierre pour rejoindre la Martinique.

« La course au large n’est pas une discipline olympique, mais, à travers notre petit parcours, nous montrerons aussi notre savoir-faireArmel Le Cléac’h s’est expliqué à l’Agence France-Presse. C’est une fierté de croiser avec ce bateau, avec un équipage renommé(OMS) représente également le savoir-faire français. »

Lire aussi | Paris 2024 : Marseille veut faire de l’arrivée de la flamme olympique « un moment véritablement populaire »

L’objectif sera de transporter la flamme olympique sans dommage. Ce dernier, abrité dans une lanterne, sera placé « dans la cellule vivante, très protégée. Ceux qui ne sont pas en repos auront toujours un oeil dessus”poursuit Armel Le Cléac’h.

« Nous serons les gardiens de la flamme, nous devrons veiller attentivement à ce qu’elle reste allumée tout le long du trajet », dit de son côté Marie-José Pérec. Selon l’ancien athlète, « accompagner la flamme en Guadeloupe est un véritable symbole ». « Les gens vont avoir une part des Jeux, et c’est extraordinaire, ajoute le triple champion olympique. Quand on dit que les Jeux sont ceux de la France, avec un geste comme celui-là, cela devient une évidence. »

Le Monde avec l’AFP

Réutiliser ce contenu
Quitter la version mobile