La famille d’Apolline de Malherbe est célèbre mais dans un milieu différent : « Je suis un peu un mouton noir… »
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On ne présente plus Apolline de Malherbe. Depuis plusieurs années, elle s’impose comme une journaliste talentueuse sur les antennes de BFMTV et RMC. Son émission matinale est chaque jour très suivie, tout comme ses Face à face toujours très redoutée par les politiques invités. Et cette voie du journalisme, Apolline de Malherbe est la seule de sa famille à l’avoir empruntée !
En effet, le reste de son entourage, connu dans la Sarthe et propriétaire d’un superbe château du XVIe siècle dont une grande partie est classée monument historique, embrassa une carrière d’artiste. Et plus particulièrement son père, Guy de Malherbeun artiste de renom. Le 5 juillet dernier, sa célèbre fille est venue le soutenir au Grand Manège Rochambeau dans le Loir-et-Cher, où il expose 150 toiles jusqu’au 22 septembre.
Apolline de Malherbe : son enfance d’artiste
Reconnue par un journal local présent au vernissage, Apolline de Malherbe a accepté de se confier et de parler de son enfance, baignée dans le monde artistique. Un environnement qui l’avait longtemps séduite, jusqu’à ce qu’elle prenne un virage à 180°.Enfant, je fréquentais l’atelier de mon père à Paris et la maison de mes grands-parents à Marçon (Sarthe) où il travaillait ses grands formats. Avec un père peintre, une mère et un frère galeristes à Paris et à Bruxelles, je suis un peu le mouton noir dans la famille. De plus, comme j’adorais dessiner, très sensible au travail de mon père dont j’admire la liberté de création, avant de choisir d’être journaliste, j’ai réfléchi un moment à cette orientation« , a-t-elle rapporté à nos confrères.
Mais il était hors de question qu’Apolline de Malherbe attire les projecteurs le jour de l’exposition de son père. L’article précise que la journaliste a largement préféré inviter les personnes présentes à découvrir ses toiles.
La mère de quatre enfants revient ensuite rapidement à Paris où elle couvre les élections législatives à travers les débats. Un rythme intense dont elle ne se lasse pas !