Sur le plan technologique, la Chine développe ses capacités à grande vitesse. Nous pensons notamment au géant technologique Huaweiqui était à la pointe de la technologie 5G. On pense aussi aux entreprises chinoises qui proposent aujourd’hui des véhicules électriques de qualité égale voire supérieure aux géants du secteur, comme Tesla.
Mais cette profusion technologique, la Chine La Chine la met également au service de ses scientifiques. Récemment, des chercheurs chinois ont également réussi un exploit exceptionnel, qui a eu beaucoup de répercussions, notamment du côté américain, où les craintes de voir l’hégémonie nationale dans l’aérospatiale menacée sont de plus en plus fortes.
La Chine capitalise sur les nouvelles technologies
Tout remonte à 2022. À l’époque, les craintes de voir un astéroïde, le PC1 1994Les éventuels accidents qui auraient pu survenir en entrant en contact avec la Terre sont bien réels. Gigantesque, ce rocher aurait pu causer d’énormes dégâts. Les scientifiques se sont donc mis au travail pour déterminer sa position exacte, sa taille et ses mouvements, afin d’avoir une idée assez précise de la trajectoire qu’il pourrait prendre.
Pour y parvenir avec la plus grande précision possible, les chercheurs chinois ont profité de la constellation de Les satellites Jilin-1. Celui-ci a été placé en orbite proche de la Terre, avant de le pointer uniquement vers l’espace (les satellites ont tous été « retournés »). Des centaines de milliers de photos ont alors été prises permettant de voir PC1 1994 et de répondre à toutes les questions qui lui ont été posées.
Les États-Unis craignent le pire
Car, aussi surprenant que cela puisse paraître, le Chine Les informations recueillies par l’astronome américain étaient extrêmement précises, avec une marge d’erreur de seulement 33 km, ce qui n’est rien comparé à l’échelle de l’espace. Il a également été prouvé que ce satellite ne représente aucun danger pour l’humanité. En revanche, cette constellation de satellites fait craindre le pire. ÉTATS-UNISqui imaginent déjà Pékin utiliser ces ressources disponibles à des fins purement militaires.