Deux ans après avoir reçu un diagnostic de « syndrome de la personne raide », la chanteuse Céline Dion, 56 ans, pose pour le numéro de mai du célèbre magazine de mode Vogue France.
Depuis qu’elle souffre du « syndrome de la personne raide », une pathologie touchant le système nerveux central, Céline Dion est devenue rare. Mais la chanteuse québécoise fait tout pour se remettre sur pied. C’est en effet ce qu’elle a révélé dans une longue interview accordée au prestigieux magazine Vogue France, pour laquelle la diva de 56 ans a posé.
Sur l’une des couvertures, Céline Dion apparaît en shorty, vêtue d’une grande chemise blanche Balenciaga et de collants semi-opaques. Sur le second, l’icône mondiale porte un volumineux manteau rose poudré, confectionné par la Maison Alaïa.
« Je suis une femme qui se sent très forte pour avancer »
Disponible dès le 24 avril, le numéro de mai s’intitule « Le grand retour de Céline Dion », ce qui pourrait laisser penser que l’interprète de « Tout seul », qui a dû annuler sa dernière tournée, s’apprête à revenir sur le devant de la scène. bientôt, micro à la main.
« Je suis honoré de faire une séance photo pour Vogue France. Je suis très fière qu’à 55 ans, on me demande de révéler ma beauté. Mais qu’est-ce que la beauté ? La beauté, c’est toi, c’est moi, c’est l’intérieur, c’est nos rêves, c’est aujourd’hui, a déclaré Céline Dion, avant d’ajouter : « Aujourd’hui, je suis une femme qui se sent très forte pour avancer.
« thérapie sportive physique et vocale »
Alors, les fans peuvent-ils espérer la revoir sur scène cette année ? Elle l’ignore. « Je ne peux pas vous dire : ‘Oui, dans quatre mois.’ Je ne sais pas… Mon corps me le dira », a-t-elle expliqué. Une chose est sûre, elle « travaille dur » pour retrouver au plus vite son public, qui l’a toujours soutenue.
Lors de cet entretien, la star est revenue sur son combat contre la maladie, affirmant devoir suivre cinq jours par semaine, une « thérapie sportive physique et vocale ». « Je travaille autant les orteils que les genoux, les mollets, les doigts, le chant, la voix… » confiait-elle à Vogue France.
« Il y a une chose qui ne s’arrêtera jamais, c’est le manque. C’est la passion. C’est le rêve. C’est de la détermination», a poursuivi la mère de René-Charles et des jumeaux Eddy et Nelson.