Bamako a été le théâtre mardi d’attaques sans précédent depuis des années dans la capitale et revendiquées par des jihadistes affiliés à Al-Qaïda.
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La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a exprimé, mercredi 18 septembre, sa « ferme condamnation » attaques jihadistes qui ont frappé mardi Bamako, la capitale du Mali. Dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, la CEDEAO « souhaite réitérer son ferme engagement envers toute initiative » favorable à la paix.
Bamako a été le théâtre mardi d’attaques sans précédent depuis des années dans la capitale et revendiquées par des jihadistes affiliés à Al-Qaïda. Le bilan humain reste indéterminé.
Le Mali, plongé dans une crise profonde depuis 2012, a rompu en janvier avec la Cédéao en même temps que ses voisins burkinabè et nigérien. Les trois pays, confrontés à des problèmes communs et dirigés par des régimes militaires à la suite de putschs successifs depuis 2020, accusent la Cédéao de ne pas les avoir soutenus face au jihadisme et d’être inféodé à l’ancienne puissance coloniale française.
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