A Paris, en Île-de-France, en régions, les Jeux olympiques déploieront une large toile d’araignée. Tour d’horizon.
A quelques mois de la ligne d’arrivée (26 juillet-11 août), le vaisseau amiral des Jeux olympiques et paralympiques et ses équipes, ainsi que la Solideo (établissement public chargé de la construction et de la rénovation de 70 installations olympiques et paralympiques), ont tracé leur chemin. Seuls le village olympique (construit sur les communes de Saint-Denis, Saint-Ouen-Sur-Seine et l’Île-Saint-Denis), le centre aquatique olympique (à Saint-Denis, face au Stade de France) et l’Arena Porte de La Chapelle ont été construits. Et ils ont trouvé place sur un plan de site multidimensionnel pour accueillir, sur 41 sites de compétition, les 329 épreuves (758 sessions) sur 19 jours de compétition. Gros plan.
15 sites de compétition dans un rayon de 10 km du village olympique. Tour Eiffel (beach-volley), Grand Palais (escrime, taekwondo), Grand Palais éphémère (judo, lutte), Pont Alexandre III (marathon de natation, triathlon, cyclisme sur route), Invalides (tir à l’arc). Sans oublier l’Hôtel de Ville (marathon), Roland-Garros (tennis, boxe), la Seine (marathon de natation, triathlon) et la Concorde (basket-ball « 3×3, BMX freestyle, breaking, skateboard). « Paris 2024 reste sur la même ligne avec des lieux d’exception. Le meilleur de la France est invité à organiser les Jeux. Pour les sports urbains, cela peut avoir un impact en termes de fête », résume Tony Estanguet.
Seront au rendez-vous Saint-Denis (athlétisme, rugby à 7 au Stade de France ; natation artistique, plongeon, water-polo au Centre Aquatique) ; Colombes (hockey sur gazon au Stade Yves du Manoir) ; Nanterre (natation et water-polo à Paris La Défense Arena) ; Bourget (escalade), Villepinte (boxe, pentathlon moderne) ; Vaires-sur-Marne (canoë, aviron) ; Saint-Quentin-en-Yvelines (BMX, cyclisme sur piste, golf) ; Elancourt (VTT) ; Versailles (équitation).
Lille (basket, handball), Châteauroux (tir), Marseille (voile). Et les stades de football : Bordeaux, Lyon, Marseille, Nantes, Nice, Paris (Parc des Princes), Saint-Étienne participeront aux festivités.
Tahiti (surf) et la vague mythique de Teahupo’o qui a fait couler beaucoup d’encre seront une curiosité.
Tony Estanguet n’oublie jamais de faire le lien avec les Jeux Paralympiques (28 août-8 septembre) : « Pour la première fois, nous aurons le même logo, une équipe de France qui promeut les athlètes valides et handicapés avec la même ambition, les mêmes sites de compétition pour célébrer les Jeux Paralympiques : Les Invalides (para-tir à l’arc), le Grand Palais (escrime fauteuil et para-taekwondo), le Champ-de-Mars (para-judo et rugby fauteuil), le Château de Versailles (para-équitation)… Il y a cette volonté d’intégrer les enjeux autour des Jeux Paralympiques dans toutes nos actions et notre périmètre. »
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