La campagne de Kamala Harris se prépare à une longue période de contestation électorale, quelle que soit l’issue de l’élection présidentielle. Selon un conseiller de campagne du vice-président, « un mois d’enfer juridique » pourrait suivre le jour du scrutin. La raison ? La course à la Maison Blanche est si serrée que la marge d’erreur est très étroite. Chaque voix compte. Et on ajoute à cela la campagne de Donald Trump qui a déjà annoncé que le candidat demanderait des recomptages dans les États clés.
Selon CNN, l’équipe de Harris a averti ses donateurs de s’attendre à « quatre à six semaines pendant lesquelles tout le monde intenterait une action en justice », les conseillers s’attendant à une vague de litiges concernant le décompte, le recomptage et les audits des votes. Un autre donateur aurait ajouté que la campagne pourrait avoir besoin de collecter davantage de fonds pour couvrir les frais juridiques associés à ces contestations.