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La bourde d’Amanda Lear face à Maïa Mazaurette dans « Quotidien »

La bourde d’Amanda Lear face à Maïa Mazaurette dans « Quotidien »
Amanda Lear et Maïa Mauzarette.
Capture d’écran / TMC

Invité de Yann Barthès ce mardi 26 novembre, le chanteur a insulté – sans le vouloir – le chroniqueur présent sur le plateau de TMC.

Reine de Chinatown, Suivez-moi, Enigma… Ce mardi soir, Amanda Lear était l’invité de Yann Barthès dans « Quotidien ». Connue pour ses tubes disco dans les années 1970 et 1980, la chanteuse était là pour promouvoir son dernier album : Laisse-moi te divertirqu’elle met à disposition de ses fans sous forme de vinyle. Au cœur d’une interview où l’intéressé enchaînait les traits humoristiques, c’est un commentaire hasardeux qui a provoqué les rires de Yann Barthès et de l’ensemble du plateau.

Lors d’une séquence où le présentateur lui lit ses propres citations cultes, voici la réponse à « Votre secret de beauté ? » qui a fait des équipes de « Tous les jours ». En effet, Amanda Lear répond d’emblée : « Asseyez-vous à côté d’un moche. » Tout aussi vite, la chanteuse se rend compte de sa maladresse, sa voisine étant l’auteure Maïa Mazaurette. « Non, non mais pas toi »s’exclame Amanda Lear. A côté d’elle, la chroniqueuse de Yann Barthès et ses collègues rient de bon cœur.

De l’autre côté de la table, le présentateur de « Quotidien » rit, avant d’ajouter : « A côté d’une personne moche… Ce n’était pas toi, Maïa… » Sous les rires du public qui s’amplifient avec ce commentaire, slui répond le chroniqueur. « Je ne l’ai pas pris personnellement » assure-t-elle, luttant pour reprendre son souffle.


« Ça, dire des bêtises, ça me vient assez facilement »

Amanda Lear sur le tournage de « Quotidien »

Un peu plus tôt dans l’émission, Amanda Lear avait prévenu son public de son penchant pour les commentaires incongrus. « D’où vient ce sentiment de punchline ? Depuis que je suis petite »Lui a demandé Yann Barthès. « Cela me vient assez facilement de dire des bêtises. » s’est exclamée avec un rire chaleureux celle qui fut la muse de Salvador Dali. Et d’ajouter, ironiquement : « C’est terrible, je n’en peux plus, après je le regrette, je le regrette. »

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