KKR a accepté l’année dernière d’acheter des immobilisations appartenant à l’ancien Telecom Italia dans le cadre d’un accord valorisant le réseau à 18,8 milliards d’euros, selon un communiqué de novembre. La société espère finaliser l’accord cet été.
Le mois dernier, les régulateurs ont interrogé les concurrents du secteur des télécommunications sur la manière dont l’accord pourrait affecter les prix de gros et la qualité du réseau.
KKR est le principal actionnaire du propriétaire de POLITICO, Axel Springer.