Le candidat démocrate réagissait aux propos d’un ancien chef de cabinet de Donald Trump à la Maison Blanche, qui a notamment rapporté que l’ex-président avait affirmé qu’Adolf Hitler avait « fait de bonnes choses ».
Publié
Mis à jour
Temps de lecture : 1min
À moins de deux semaines d’une élection scrutée par le monde entier, tout est permis. Donald Trump estt « de plus en plus perturbé » et je cherche un « pouvoir absolu »a déclaré Kamala Harris, sa rivale démocrate dans la course à la Maison Blanche, mercredi 23 octobre. « Il est profondément inquiétant et incroyablement dangereux que Donald Trump invoque Adolf Hitler »a-t-elle déclaré lors d’un court discours, faisant référence aux propos tenus par un ancien chef de cabinet du républicain à la Maison Blanche.
Selon John Kelly, qui estime que Donald Trump correspond à la définition d’un fasciste, l’ex-président aurait déclaré que le dictateur nazi avait « fait de bonnes choses ».
Pour la vice-présidente américaine, qui ne mâche plus ses mots lorsqu’elle s’exprime pour répondre aux violences et insultes du camp adverse, « Tout cela est une preuve supplémentaire pour le peuple américain de qui est réellement Donald Trump. ». MAINTENANT, « Nous savons ce que veut Donald Trump : il veut le pouvoir absolu. La question dans 13 jours sera de savoir ce que veut le peuple américain. »a conclu Kamala Harris lors de ce discours en Pennsylvanie, rappelant que le milliardaire républicain avait promis de prendre « aux ennemis intérieurs ». Et cette définition s’applique à « quiconque ose le critiquer »se souvient-elle.
L’équipe de campagne de Donald Trump, au coude à coude avec son rival dans les sondages, notamment dans les États clés qui pourraient faire basculer l’élection, a démenti devant la presse les propos attribués à l’ancien président par John Kelly.