Pour célébrer la décision anti-trans de la Cour suprême britannique, le riche auteur a photographié Cigillo et Whisky à la main. Une image qui parle d’elle-même.
Je n’aime pas cette photo. Cigar dans la bouche, whisky à la main, plusieurs anneaux d’or, sur son propre yacht quelque part dans les Bahamas: c’est ainsi que JK Rowling a décidé d’apparaître sur son compte X la semaine dernière, le jeudi 17 avril, pour célébrer sa victoire, la décision de la Cour suprême britannique de ne pas reconnaître les femmes trans en tant que femmes.
Ce que je vois à propos de cette image, ce sont tous les signes vulgaires de pouvoir et d’argent et de cynisme, tous ces signes bling exposés par des hommes eux-mêmes, des hommes riches et du pouvoir, des oligarques de toutes sortes, qui pensent qu’ils peuvent tout acheter et contrôler, tout dominer, y compris les femmes, les pauvres, les minorités ethniques, les plus vulnérables.
Interdit dans les endroits réservés aux femmes
Riche grâce à sa franchise Harry Potter, Rowling soutient la constitution financière de 70 000 livres-les anti-Trans-Trans pour les femmes en Écosse, qui a porté cette demande devant la Cour suprême, et qui vient d’obtenir l’exclusion de Trans. Il n’y avait que le commentaire très attendu sur le commentaire de Keir Starmer: Il est tombé cette semaine, accueillant ce jugement amené des femmes aux femmes.
Résultat: les femmes trans sont désormais interdites dans les endroits réservés aux femmes (toilettes, etc.). Qu’une femme comme Rowling, qui était pauvre et victime de la violence des hommes autour d’elle, attaque la minorité la plus vulnérable de la population, et exposent en plus si clairement, pour célébrer cette exclusion, l’imagerie de la dominante, stockant du côté des « fiers gars d’avoir une bite », de ceux qui l’ont dominé, je l’admets que je ne comprends pas.
Pas de dialogue possible
En Angleterre, le dialogue sur cette question est devenu impossible. D’une part, de nombreux internautes menacent JK Rowling et brûlent ses livres, ce qui est fou. D’un autre côté, la presse l’abattre en soulignant qu’elle défend l’accès de ces espaces aux femmes biologiques seules, sans être terf (féministe radicale trans-exclusive). Bien qu’il soit suffisant pour jeter un œil à vos tweets pour mesurer sa virulence, certains limitant même l’incitation anti-trans. Pendant ce temps, une femme est victime d’un viol ou d’une tentative de viol toutes les 2 minutes 30, par un homme, oui jk, un homme (pas une femme trans, un homme biologiquement, psychiquement, culturellement). On entend peu de choses sur le problème, aussi colossales.