Ancien visage de BFMTV, la présentatrice de « C l’hebdo » sur France 5 entame sa deuxième saison à la tête du talk-show du samedi sur France 5.
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« Je crois au pouvoir des témoignages, de ces mots qui resteront « , indique Aurélie Casse, mardi 24 septembre. Elle entame sa deuxième saison à la tête du célèbre talk-show « C l’hebdo », le samedi sur France 5, à 19 heures. Après avoir eu un an pour s’installer, la journaliste sait évidemment qu’elle va devoir confirmer le succès d’audience, « nous allons essayer de faire plus de hits, d’être plus prescriptifs« , a-t-elle déclaré. Un peu à l’image de l’exclusivité lors de la visite du président de la Fondation Abbé Pierre, Christophe Robert, annonçant le changement de nom de la Fondation, « Il nous a choisi pour l’annoncer. C’était assez fort et j’espère que nous continuerons comme ça » continue-t-elle.
Après avoir passé huit ans chez BFM, Aurélie Casse est arrivée sur France 5 à la rentrée 2023 avec, en plus d’animer « C l’Hebdo », une chronique dans l’émission d’Anne-Élisabeth Lemoine « C à Vous » qu’elle a quittée au bout de quatre mois, expliquant vouloir se consacrer pleinement à son émission « C l’hebdo ».J’aime être chef d’orchestre, j’aime fabriquer, j’aime construire« , avoue-t-elle. Sûre de son choix, elle confirme ne pas regretter d’avoir quitté « C à Vous », « Tout de suite, je me suis senti mieux.«
« C l’hebdo » est le récit des événements de la semaine écoulée. Une émission enregistrée le vendredi et soumise aux aléas de l’actualité par la force des choses.Nous sommes Pénélopes, nous tricotons et détricotons tout le temps avec l’équipe« , souligne le successeur d’Ali Baddou. Une rencontre dans laquelle elle a pris ses marques et confirme son appétence pour le tête-à-tête avec ses invités. »L’enregistré a ses vertus, quand on dit à une personne qui va dire quelque chose de fort, d’émouvant : « on peut arrêter à tout moment, je sais que c’est dur pour toi, ne t’inquiète pas », ça rassure« .
Bien qu’à l’aise dans son rôle, Aurélie Casse avoue néanmoins : «La vie me manque et j’espère le retrouver un jour. J’aime le quotidien. Un hebdomadaire c’est quand même pas mal de contraintes mais ça aide aussi à être meilleur.« Alors, serait-elle intéressée à présenter le journal de 20 heures ? Une question qui est souvent posée aux femmes journalistes, selon elle, une nomination qu’elle qualifie de «super beau, très beau cadre« , mais dont elle rejette l’idée, du moins pour le moment : « Pour moi, ce n’est pas un rêve. J’ai d’autres rêves.« .
Grb2
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