Bourse Entreprise

Jennyfer : la marque de vêtements n’est pas « morte » et annonce une surprise de taille

Résumé

Résumé

Nous avons failli perdre la marque fondée en 1985 à Saint-Denis par Gérard Depagniat et David Tordjman. C’est à cette époque que le duo a donné vie à la marque Ne m’appelle pas Jennyer. Une marque de prêt-à-porter que tout le monde connaît aujourd’hui mais qui a failli disparaître.

En effet, un plan de sauvetage et l’arrivée d’un investisseur ont permis de sauver la firme, comme le rapportent nos confrères de Marie France. Pour rappel, l’entreprise a connu, comme beaucoup d’entreprises au moment de la pandémie de Covid-19, des années très compliquées par la suite. C’est pourquoi, après avoir été fragilisée, elle a décidé de lancer une nouvelle stratégie marketing.

Une période compliquée pour Jennyfer

C’est à cette époque que la marque se rebaptise Ne m’appelle pas Jennyfer. Malheureusement, trois ans après ce nouveau nom, l’entreprise n’a pas réussi à se relever et un plan social a été mis en place. En effet, 20 magasins ont dû fermer et 66 emplois ont été perdus, comme le rappelle Marie France.

Nos confrères soulignent également qu’elle a été placée en redressement judiciaire. « en raison de la cessation des paiements, de l’augmentation des coûts et de la diminution des ventes ». La preuve que les périodes de confinement ont fait beaucoup de mal à la firme ? Le fait que son chiffre d’affaires était estimé à 300 millions d’euros avant la pandémie.

Elle a finalement pu s’échapper, contrairement à d’autres.

Pour aujourd’hui, il était à 250 millions selon les informations de Capital. Malgré tout, le tribunal de commerce de Bobigny a a approuvé son plan de continuation, « et une alliance avec un acheteur a été scellée », précisent nos confrères. Ne m’appelle pas Jennyfer peut donc remercier Shanghai Pure Fashion Garments Co Ltd. Ce qui a permis de sauver la marque et de lui donner un nouveau nom.

Comme le note le compte Actu React Info, la marque opterait désormais pour « NN » pour rappeler les deux « N » de la marque Jennyfer. Si cette entreprise semble sauvée, ce n’est malheureusement pas le cas de certaines autres firmes de prêt-à-porter. Comme Pimkie, Gap, Kookaï et d’autres.

Ray Richard

Head of technical department in some websites, I have been in the field of electronic journalism for 12 years and I am interested in travel, trips and discovering the world of technology.
Bouton retour en haut de la page