Un mois après son hospitalisation pour « gêne thoracique » survenue à la cour d’appel de Lyon, la chanteuse donne de ses nouvelles.
Le 7 mai, Jeane Manson était hospitalisée en urgence après avoir été victime d’un infarctus lors de l’audience à la cour d’appel de Lyon. La justice doit se prononcer, pour la deuxième fois après un appel, sur le procès en diffamation qu’elle a intenté contre Coline Berry, la fille de Richard Berry, avec qui l’artiste d’origine américaine a vécu de 1984 à 1986. Le tribunal devrait rendre son jugement, ce une finale, le 17 juillet.
Mercredi 5 juin, le chanteur de Envolez-vous pour New York (1979), visiblement rétabli, a expliqué à La dépêche de midi les circonstances et aussi peut-être les raisons de son incident cardiaque : « Je vais bien. Je me repose. J’avais le syndrome du cœur brisé, « takotsubo » comme on dit en japonais, une insuffisance cardiaque aiguë survenue suite à un choc émotionnel. J’aurais pu mourir si les secours n’avaient pas été aussi rapides. Pour l’instant, aucune intervention n’est prévue, mais je suis suivi de près. Je tiens à remercier toutes les personnes qui m’ont suivi ainsi que l’excellent service de réanimation de l’hôpital Saint-Joseph de Lyon..
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Si la santé de Jeane Manson ne semble plus inquiéter pour le moment, en revanche les ressentiments qu’elle éprouve envers Coline Berry, contre qui elle a porté plainte en diffamation, ne se sont toujours pas éteints. Aux journalistes du grand quotidien régional de la région Occitanie, elle a partagé sa nouvelle philosophie sur cette question de morale qui faisait la une de la Une il y a trois ans : « J’ai aussi décidé que la santé valait mieux que le stress des mensonges auxquels je suis soumis ».
Le 17 juillet, la Cour d’appel rendra un jugement définitif. En décembre 2022, la cour d’appel de Riom (Puy-de-Dôme) a condamné Coline Berry-Rojtman à 2 000 euros d’amende pour diffamation. Et cette fois, il n’y aura plus aucune possibilité de pourvoi en cassation.
