Divertissement

Jean-Marie Périer garde toujours une dent contre Henri Salvador

SSi Jean-Marie Périer a hérité d’un certain don pour la musique de son père biologique, le photographe a aussitôt choisi de l’abandonner après avoir pris connaissance de ses racines paternelles. Aujourd’hui âgé de 84 ans, l’ancien compagnon de Françoise Hardy a évoqué, dans une interview au sujet de la chanteuse, ses liens familiaux.

Celui qui a trouvé le succès avec le magazine salut les copains dans les années 1960, marquées par un véritable essor culturel et artistique, ne pouvait s’empêcher de souligner un épisode douloureux qui l’éloigna de ses talents musicaux.

À LIRE AUSSI Il y a 59 ans, Sylvie Vartan interprétait « Le Loco-motion » « Je me rends compte de la chance que j’ai eu », a-t-il déclaré au Parisien le 11 juillet. « Mais j’ai de la chance, ma vie est un échec. Enfant, j’étais musicien, je composais au piano, c’était ma vie… Et, à 16 ans, en 1956, j’apprends par un amant de ma mère que j’ai un père biologique. »

« Je ne prononcerai plus jamais son nom. »

Le jeune Jean-Marie Périer, reconnu et élevé par François Périer, le premier mari de sa mère, ne connaît pas encore Henri Salvador. Pourtant, en découvrant le musicien, le rejet est immédiat et le photographe abandonne la musique. Aujourd’hui encore, il refuse de prononcer le nom de son père. « C’est un artiste extraordinaire, mais un type très laid », dit-il.

« J’ai acheté mon billet pour le voir à l’Alhambra et j’ai été étonné de voir à quel point il était un grand musicien. Tout (…) Lire la suite

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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