Rien ne semble l’atteindre. Charles Leclerc est devenu un bloc de marbre aussi massif que tous ces granulats de béton que Monaco jette à l’eau pour se dilater. Depuis son arrivée chez lui, le pilote Ferrari suit un schéma qui ne ressemble en rien aux précédents, comme s’il ne se souciait plus de gagner devant les siens.