Résumé
Résumé
C’est un film culte qui marquera à jamais le cinéma français. La ville de la peur célébrer, cette année, son trente ans. Un long métrage d’Alain Berbérian avec, à l’affiche, l’équipe des Nuls composée deAlain Chabat, Chantal Lauby et Dominique Farrugia. Ce dernier qui, récemment, souhaitait prendre leavion. Quoi de plus banal si ce n’est qu’avant même de monter dans l’avion, l’acteur, réalisateur et producteur a vécu une mésaventure. Une scène tellement choquante qu’il a souhaité la partager avec ses abonnés.
Donc sur X, l’homme de 62 ans révèle ce qui s’est passé dans « sa vie de personne à mobilité réduite« comme il commence. »A Orly 3, une hôtesse de l’air au sol Transavia qui me voit avec ma chaise électrique dit en me regardant : ‘Qu’est-ce que c’est?‘ J’essaie de répondre et elle dit ‘Je ne te parle pas.’ Je veux parler à quelqu’un de responsable » aurait-elle dit devant l’acteur handicapé.
Suite à cette publication, Dominique Farrugia a reçu un vague de soutien de personnalités comme d’anonymes. « Quel abus« , « Odieux. Abject. Honteux« , « Époustouflant« , « Triste« , « enfer » on peut lire ici et là comme Guillaume Durand a écrit ces quelques mots : « Chère Dominique, je t’embrasse. C’est atroce. Mon métier est différent mais il déclenche aussi des humiliations silencieuses dégoûtantes. je pense à toi« . Le journaliste qui s’est remis difficilement d’un cancer de la mâchoire.
L’ancien Null a connu des années de gloire. Dans de nombreux films, Dominique a été vu debout jusqu’à ce que sa vie bascule à l’âge de 28 ans. Les médecins ont détecté chez lui un la sclérose en plaques, une maladie auto-immune qui affecte le système nerveux central. Alors, du jour au lendemain, l’acteur se retrouve dans un fauteuil roulant. Terrible nouvelle. Pour le compagnon d’Isabelle, cela ne fait aucun doute : « Quand je fais la chronologie de ma maladie, Je pense que sa mort (celle de l’ex-membre des Nuls Bruno Carette, ndlr), a été le déclencheur« , confiait-il à Ouest-France en 2021.
Le papa de Mia et Zoé ajoute : « Les scientifiques disent que Sep est quelque chose que nous avons en nous et qui pourrait apparaître après une grande période de stress. Qu’y a-t-il de pire stress que la mort d’un être cher ? Bruno est parti dans les trois mois. Puis j’ai eu des crises de panique » déclare-t-il.
Enfin, toujours à nos confrères, il délivre à l’époque un message d’espoir : «Je vis avec ça depuis trois décennies. Elle ne m’a jamais quitté. Je veux que ceux qui souffrent de ma maladie sachent que nous pouvons la surmonter » a-t-il conclu.