Dans le centre de la psychiatrie infantile à Juvénile à Mâcononnais, une partie du bâtiment est réservée à l’hôpital de jour. Malo (nom emprunté), Angelina, Tina et Amélia sont assis autour d’une table avec Isabelle, infirmière et Sylvia, aide médico-psychologique. Ils seront bientôt rejoints par Camille, psychologue. Les adolescents, âgés de 14 à 17 ans, sont réunis pour le groupe « Autorité sociale ».
En quelques mots, parfois difficile à trouver, ils expliquent pourquoi ils sont là. Phobie scolaire ou sociale, « Peur du regard des autres », anxiété, dépression, troubles de l’alimentation. Un inconfort qui a conduit certains à être hospitalisés, à Sevrey, sur le site de l’establishment public de santé mentale 71. C’est le cas d’Angelina, frappé par une dépression à la fin du premier confinement causé par l’épidémie liée à Covid. « Mes sœurs …
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