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Face à son adversaire, Laurent Wauquie revendique la liberté d’expression et le fait de « ne pas être piégé dans la solidarité du gouvernement », contrairement à son rival.
Les membres des républicains ont été appelés aux urnes depuis hier pour élire leur chef. Les deux candidats déclarés, Bruno Retailleau et Laurent Wauquie, doivent essayer de se démarquer dans le dernier tronçon. Invité de la Matinale de France 2, le chef des députés LR à l’assemblée est un joueur: « Je ne me présente pas contre Bruno Retailleau mais pour refuser le droit. »
Parmi les thèmes, il met en évidence pour se différencier: la réévaluation du travail. «Les Français constatent que notre pays est bloqué sur le travail. Celui qui ne travaille pas gagne plus que celui qui travaille. » Il souligne notamment les nombreuses contributions et contributions salariales qui pèsent sur les salaires et mettent une rémunération de 3000 euros brut à 2300 euros net.
Face à son adversaire, Laurent Wauquie revendique la liberté d’expression et le fait de « Ne pas être prisonnier de solidarité du gouvernement », Contrairement à son rival. « Lorsque vous êtes dans un gouvernement, vous ne pouvez pas vous dissocier de la voix du Premier ministre ou du président. » Par exemple: la désignation par le chef de l’État de Richard Ferrand comme candidat à la présidence du Conseil constitutionnel. Si Laurent Wauquie dit que « Ce n’est pas un bon choix »Bruno Retailleau est obligé de réserver en raison de la séparation des pouvoirs.
« Le Conseil constitutionnel a une grande influence sur la vie quotidienne, le droit du travail, l’insécurité, l’immigration … et son président juge avec l’idéologie sur ces sujets. » «
Laurent Wauquie, chef des députés LR à l’Assemblée
Le candidat à la présidence des républicains justifie sa position: « Le Conseil constitutionnel a une grande influence sur la vie quotidienne, le droit du travail, l’insécurité, l’immigration … et son président juge avec idéologie sur ces sujets. » Le fait que le futur président potentiel soit donc un allié d’Emmanuel Macron depuis le début ne dit rien qui vaut le député de Haute-Loire. « Richard Ferrand est estimable mais il n’a pas d’expertise juridique, il vient de la gauche et est un fervent représentant de Macronie », Il se développe. Il se gratte en passant à Laurent Fabius, le président sortant du Conseil constitutionnel résultant également du PS, qui, selon Wauquie « Ruine la loi sur l’immigration ».
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Tout en portant un discours ferme sur certaines questions souveraines, le parlementaire est interrogé sur sa proximité idéologique avec le rassemblement national. S’il prétend ne pas s’attacher à l’idée d’un « Cordon sanitaire »Laurent Wauquie dit qu’il n’y aura pas « Alliance parce que nous n’avons pas les mêmes idées économiques ».
Différences de base qui sont régulièrement exprimées dans l’assemblage: « Lorsque nous avons proposé d’imposer des heures d’activités en échange de l’obtention de la RSA, l’IA a voté contre. » (Le droit et la majorité ont adopté cet amendement ensemble en septembre 2023, note de l’éditeur) Celui qui dit dans Le Figaro croire « Une coalition de la droite large » Placer la fête de Marine Le Pen à « L’extrême gauche » Sur l’aspect économique.
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