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« Je me suis endormi en pensant que cela pourrait être la dernière nuit de ma vie », raconte un ancien otage israélien.

« Et jusqu’au moment où j’ai été secouru… je ne pouvais pas croire que je pouvais encore survivre », a ajouté le jeune homme de 26 ans. « Le fait que je sois encore assis ici avec vous maintenant est un miracle. »

Noa Argamani, enlevée le 7 octobre par le mouvement islamiste palestinien Hamas sur le site du festival de musique électronique Nova, est devenue l’un des symboles des otages. Des images d’elle à l’arrière d’une moto, suppliant : « Ne me tuez pas ! Ne me tuez pas ! » ont largement circulé. La vidéo montre également son petit ami, Avinatan Or, un ingénieur, emmené séparément.

105 otages toujours détenus

Les forces spéciales israéliennes ont libéré Noa Argamani lors d’un raid sur le camp de réfugiés de Nuseirat à Gaza le 8 juin, en compagnie de trois autres personnes : Almog Meir Jan, 22 ans, Andrey Kozlov, 27 ans, et Shlomi Ziv, 41 ans. L’armée israélienne a déclaré mardi avoir récupéré les corps de six otages dans un tunnel dans le sud de la bande de Gaza, dont certains ont été tués lors d’opérations militaires israéliennes.

Gérard Truchon

An experienced journalist in internal and global political affairs, she tackles political issues from all sides
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