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« Je demande aux personnes les plus sensibles de sortir » : au procès pour viol de Mazan, l’insupportable diffusion des vidéos
Roger Arata, le président du tribunal, a tenu à associer la diffusion de ces films, qu’il considère toujours comme « portant atteinte à la dignité des personnes », à un message de prévention. Ce qui n’a découragé personne dans la salle de diffusion, où le public nombreux a choisi de « regarder le viol droit dans les yeux », selon une phrase de Me Antoine Camus, l’un des avocats de Gisèle Pelicot.