Plus de peur que de mal. Si, aujourd’hui, tout le monde connaît Jamel Debbouze, l’humoriste a commencé comme tout le monde: au bas de l’échelle. En effet, il n’a pas atterri à la télévision et sur scène, du jour au lendemain. Il devait auparavant faire ses gammes à la radio.
Dans une longue interview avec Société Ce jeudi 30 janvier 2025, le compagnon de Mélissa Theuriau a accepté de revenir à son début de carrière, quand il a commencé à Radio Nova à la fin des années 1990.
Les beaux souvenirs de Jamel Debbouze à Radio Nova
Jamel Debbouze doit donc beaucoup à Jean-François Bizot, le fondateur de la radio née en 1981, et n’a pas manqué de le souligner. « Moi, c’est Bizot qui m’a découvert avec Jacques Massadian, qui était mon manager à un moment donné »Il confie à nos collègues.
Par la suite, le père de Léon et Lila n’a pas manqué de louer Jean-François Bizot et les équipes de Radio Nova :: « Ils étaient des gens humains réels, faciles, qui m’ont appris la véritable générosité. L’ouverture. Le dimanche, tous les bâtiments étaient connectés à Nova avec Cut Killer et Big Brother Hakim et nous avons passé notre temps à vous allumer la tête ».
Un passage de sa vie que Jamel Debbouze n’oublie pas et qu’il ne souhaite pas oublier, car il a passé de bons moments sur les ondes de Radio Nova. « Quand j’ai eu l’occasion de travailler sur Radio Nova, je me sentais comme si j’étais dans un temple dédié à la rue, au métro, à la bizarrerie, à un endroit qui permettrait en effet le lien entre nous et le courant dominant, d’une manière »Il se souvient.
Un accident jaguar à la périphérie
L’humoriste attendait si bien avec les dirigeants de Radio Novaqu’il a même eu l’occasion de conduire une voiture de luxe. Une anecdote amusante, qui aurait pu se terminer très mal, sur laquelle il voulait habiter.
« »Ils étaient oUFS! En fait, je dis en décongeant Jacques Massadian: «Vous quittez votre voiture? Il dit non, bien sûr, mais Bizot le fait: «Oh, ça va, laissez-le. Ce n’est rien. « Il avait le ‘It’s Nothing’ Fastoche, Jean-François Bizot « Rappelle Jamel Debbouze. Ce dernier se souvient également de se demander: « Mais où ils me prêtent un Jaguar, pour retourner aux trappes? La voiture, c’est 22 mètres, et c’est un jour que j’ai la licence! ».
De toute évidence, il avait de nombreuses raisons de poser la question. En effet, nos collègues de la société ont déclaré que la voiture de course de luxe était très mal terminée: « Après quelques jours pour ralentir dans chaque rue de Trappes, Jamel finira par planter le véhicule sur l’appareil ». Heureusement, Jamel Debbouze a réussi à sortir de cet accident, ce qui aurait pu lui coûter très cher.