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« J’ai pris cinq kilos grâce au pain », Kolisi revient sur son adaptation en France

« J’ai pris cinq kilos grâce au pain », Kolisi revient sur son adaptation en France

Arrivé en France en novembre, le capitaine des doubles champions du monde Springboks découvrira la phase finale du Top 14.

« Je ne m’attendais pas à ce que ce soit si difficile. », a déclaré Kolisi à l’AFP avant le barrage entre le Racing 92 et Bordeaux-Bègles dimanche (18 heures). Une fois éliminé, le Racing a arraché son ticket pour la phase finale en obtenant le point de bonus défensif à la 78e minute samedi dernier à La Rochelle (défaite 24-19) lors de la 26e et dernière journée de saison régulière.

« Nous avons fait de bonnes choses mais nous pouvons faire mieux. On s’est battu pour se qualifier, avec cet essai au final qui nous a donné le bonus. La phase finale est autre chose. La mentalité est différente, il s’agit de savoir qui est prêt le grand jour. Il faudra être prêt »a-t-il indiqué.


J’ai pris cinq kilos en arrivant, à cause du pain. Un jour, j’étais à la salle de sport, je me suis regardé et je me suis dit. Mec, tu es horrible. J’ai donc dû supprimer un peu de nourriture.

Siya Kolisi

Arrivé cette année en France au Racing, après avoir remporté la Coupe du monde 2023, le troisième ligne sud-africain ne s’attendait pas à un championnat d’un tel niveau : « Le Top 14 est sans doute la compétition la plus relevée que j’ai disputée en national. Je ne m’attendais pas à ce que ce soit si difficile.

Au-delà du championnat et du rugby, le natif de Port-Elizabeth revient sur son adaptation au mode de vie français. « J’en profite. C’était compliqué au début, la langue est difficile à apprendre ! Mais le vocabulaire du rugby est plus facile à comprendre. (sourire) Nous nous sommes bien adaptés, les enfants sont heureux à l’école, mon fils joue au rugby au Racing… J’ai pris cinq kilos en arrivant, grâce au pain. Un jour, j’étais au gymnase, je me suis regardé et je me suis dit : « Mec, tu as l’air horrible. » J’ai donc dû supprimer un peu de nourriture, notamment du pain… Ce n’était pas facile car la nourriture est incroyable ! Là, c’est bien : je n’ai jamais été aussi léger (sourire).»

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