L’Euro est sur le point de commencer et vous ne serez pas parmi les Bleus pour la première fois depuis 2010 lors d’une grande compétition. Que ressentez vous ?
À partir du moment où j’ai annoncé ma retraite internationale, il n’y a plus de place pour les regrets. Après avoir vécu plus de quatorze ans et sept tournois majeurs (quatre Coupes du monde, trois Euros) avec les Bleus, je me dis que j’ai été privilégié. Mais je garde un lien très fort avec l’équipe de France, avec le coach, le staff, toute l’encadrement et les amis qui sont encore dans l’équipe.
Comment vous sentez-vous au sein de votre nouvelle équipe ?
On est sur une bonne série de victoires, on a eu un peu de mal à entamer le début de saison, surtout à l’extérieur, et c’est quelque chose que je découvre. Même dans la Conférence Ouest, c’est tellement vaste, voyager peut demander trois ou quatre heures de vol, on change de climat, on peut se retrouver en altitude, mais c’est aussi le…