La Tribune dimanche – Pourquoi retourner au public avec un spectacle? Vous auriez pu écrire un livre, comme souvent les anciens ministres …
Éric Dupond -Moretti – Pour moi, c’était évident car je n’en avais déjà fait qu’un sur la scène de la profession d’avocat qui avait eu un certain succès. Et puis j’avais trente-six ans avocat de pénalité à The Assises. Je n’étais pas un avocat des affaires! La pénalité, c’est dans l’oralité. À la fin de la première confinement, alors que nous avons dû faire de grandes pièces, dont Pleyel, je n’avais pas pu monter sur scène: j’avais accepté d’être ministre entre-temps. Donc, être ici est une boucle bouclée.
Vous semblez étonnamment vulnérable seul sur scène …
Vulnérable, je ne sais pas. Fondamentalement, que dois-je risquer de prendre trois tomates dans le coin du visage? Alors que lorsque je plaide, il y a un gars derrière moi qui joue sa liberté.
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