Jacques-André Carboni, ex-policier installé à Ponte Leccia : « J’aime l’adrénaline des missions à risque »
SSi quelqu’un m’appelle demain, je partirai sans hésiter pour sécuriser à nouveau Haïti qui est gangrenée par les gangssurtout dans le contexte actuel’‘assène Jacques-André Carboni. Ce ancien policier de soixante-huit ansconverti en sécurité privée et venant de l’un d’eux Familles corses composé presque exclusivement de officiers de policene connaît que trop bien leterritoire francophone indépendant unique dans les Caraïbes.
Crimes, assassinats, viols, enlèvements… « Lors de mes missions en Haïti, j’ai vu tant d’atrocités et de violences liées à l’appauvrissement de la population, à la corruption et à l’insécurité… Les enfants buvaient l’eau des caniveaux, les familles mendiaient, les corps étaient découpés à coups de machette, les Haïtiens se tiraient dessus »,