Divertissement

Isabelle Huppert s’exprime pour la première fois sur le décès de son petit-fils, Kolia

Un témoignage émouvant. Ces derniers jours, Lolita Chammah, l’actrice et fille d’Isabelle Huppert, multiplie les interviews depuis la sortie de son livre en mai dernier J’ai regardé la nuit tomber. Au fil des pages, elle raconte la perte de son bébé, Kolia, âgé de seulement 12 jours. En octobre 2022, la mère de Gabriel était enceinte pour la deuxième fois, mais après 5 mois de grossesse, elle a perdu les eaux prématurément. « En une fraction de seconde, je comprends que mon existence va être bouleversée. C’est le début de mon livre : comment une existence, en deux secondes, se brise (…) Et c’est le début d’une course effrénée à la vie, qui, dans mon cas, s’est mal terminée. », confiait alors Lolita Chammah à France Inter. Interrogée sur le sujet, sa mère Isabelle Huppert a fait des confessions émouvantes.

Isabelle Huppert « bouleversé » Et « admirant » par sa fille, Lolita Chammah

« Je ai été très touchée par ce qu’elle dit de son chagrin, mais aussi par ce qu’elle écrit. Émouvante, je savais que cette histoire serait, de par la nature même de son sujet. »confie Isabelle Huppert à nos confrères de Elleavant d’ajouter : « Mais J’ai également été bouleversé et admiré par le fait que Lolita ait à la fois la force et le talent de l’exprimer avec des mots comme celui-ci.. Ce n’est pas seulement une histoire factuelle, mais un objet littéraire.. Si Lolita Chammah avait confirmé sa grossesse en 2022 dans les colonnes de Figaro, elle n’en a plus fait référence par la suite. Un sujet bien gardé par toute la famille.

Le reste sous cette annonce

Pourquoi Lolita Chammah a-t-elle écrit un livre sur la perte de son enfant ?

« J’avais le sentiment que l’écriture me rapprochait du reste de l’humanité sur ce sujet » a confié Lolita Chammah sur France Inter. Si au début, la comédienne a écrit ce livre pour elle-même, de manière thérapeutique, elle a très vite remarqué que ce sujet concernait beaucoup d’autres femmes. « Je reçois des témoignages, les gens m’écrivent et je vois qu’ils me disent « merci » parce que cette parole qui se libère, cette main que j’ai peut-être tendue, c’est quelque chose de très fort, les gens ne demandent qu’une chose, c’est de pouvoir en parler« , a-t-elle confié. Un mot qui fait du bien.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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