Incroyable ! Xiaomi aurait réussi à développer sa propre puce gravée en 3 nanomètres

Comme il s’agit d’un « Tape out », ce n’est pas l’œuvre de TSMC ou de Samsung, mais d’une machine probablement ASML appartenant à la division R&D puces de Xiaomi.

mais …

Si, comme je le pense, il est normalement interdit à ASML de vendre ses machines aux fonderies chinoises (et plus généralement à la Chine ?), il se pourrait qu’il s’agisse d’une machine ASML vendue avant l’interdiction et  » piraté » (passez-moi le terme mdr) être capable de 3nm, ce qui me semble presque impossible et même si…

De ce fait, la transition extrêmement rapide du SMIC de 28 nm à 14 nm en 1 an se précise, puis de 14 nm à 7 en 18 mois, voire 5 nm.

Se pourrait-il que, sur la base d’une ingénierie dérivée bien pensée d’ASML, les Chinois seraient en mesure de fournir leur propre fonderie de pointe ?

Je penche pour cette dernière solution.

C’est plié !

Et sinon bravo, la concurrence est la bienvenue.