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Immobilier. Le téléphone n’a pas sonné depuis l’annonce de la dissolution !

Immobilier.  Le téléphone n’a pas sonné depuis l’annonce de la dissolution !

« Le téléphone sonne moins » : la dissolution ralentit la reprise de l’immobilier.

C’est valable aujourd’hui dans tous les secteurs économiques, même si, ici, Le Figaro met particulièrement l’accent sur l’immobilier et c’est évidemment logique.

« L’éclaircie n’aura guère duré. Les ventes de logements, qui commençaient à redémarrer avec le beau temps et la baisse du coût du crédit, marquent à nouveau le coup d’arrêt. L’annonce choc de la dissolution de l’Assemblée nationale par le président de la République, au soir des résultats européens, a immédiatement refroidi les marchés. « Le lendemain, j’ai eu un acheteur qui a annulé son offre », se souvient Guillaume Audran, directeur d’une agence L’Adresse à Sète. Celui-ci avait pourtant été accepté par le vendeur trois jours plus tôt. » Un cas loin d’être isolé. « Le téléphone sonne un peu moins », confirme Valérie Boucharlat, directrice de l’agence Laforêt Croix-Rousse à Lyon. Comme à chaque élection, l’incertitude domine. » Cette fois, probablement plus que d’habitude. »

Comment planifier l’avenir avec de telles incertitudes ?

Acheter un bien immobilier, c’est prendre une décision d’investissement personnelle et individuelle sur plusieurs années, avec parfois un crédit courant sur plusieurs décennies.

C’est la même chose pour les entreprises.

Et la comparaison est importante. Cela permet à chaque futur propriétaire, pas forcément entrepreneur, de se retrouver exactement dans la même situation qu’un patron qui a besoin d’investir.

Est-ce le moment ? Faut-il y aller ?

Pour ce faire, il faut être capable de se projeter dans le futur.

Sans projection possible, aucun projet ne pourra se réaliser.

L’éventuelle arrivée au pouvoir de LFI et le retour d’un ISF font fuir les investisseurs qui attendent une évolution de la fiscalité. Ceux qui pensent que nous devrions peut-être quitter le pays en fonction des craintes de tous seront également attentistes.

En bref, la dissolution a plongé le pays dans une impasse économique et d’investissement.

La seule bonne nouvelle, c’est qu’au moins la campagne sera de courte durée et la période de blocage aussi… enfin, normalement ! Par la suite, d’autres types de blocages peuvent survenir. .

Pour ceux qui souhaitent aller plus loin, vous pouvez vous abonner à la Lettre STRATÉGIES pour avoir accès à ce dossier spécial « 10 solutions pour se préparer aux conséquences d’une dissolution » (toutes les informations ici). Tout abonnement donne accès à tous les fichiers déjà publiés et à toutes les archives.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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« En voulant étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

« Il s’agit d’un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction totale ou partielle à condition que ce paragraphe soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre une analyse impertinente et sans concession de l’actualité économique. Merci d’avoir visité mon site. Vous pouvez vous inscrire gratuitement à la newsletter quotidienne sur www.insolentiae.com. »

Source Le Figaro.fr ici

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