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«Ils sont hors de contrôle», «C’est l’enfer»… Une bande de poulets sauvages envahit un village anglais, les habitants n’arrivent plus à dormir

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Depuis que leur village a été occupé par une bande de poulets sauvages, les habitants de Snettisham (Angleterre) ne ferment plus les yeux.

Les habitants du village de Snettisham (Angleterre) ont ébranlé les plumes lors de la dernière réunion de la paroisse locale, selon le journal britannique The Guardian. A l’origine des tensions entre les habitants, l’invasion d’une centaine de poules sorties de la forêt voisine, dont la présence divise.

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Les premiers relativisent, les philosophes : « Avec tout ce qui se passe dans le monde, il ne faut pas que les gens se mettent le spleen dans le bouillon de cour pour quelques volailles ! » déclare un client, qui souhaite toutefois rester anonyme dans ce contexte de crise. Ces derniers affirment vivre « en enfer », se plaignant que les poules ne se soucient pas des règles en matière de bienséance et de bruit nocturne. « C’est java tous les soirs ! », selon les habitants, qui racontent s’être équipés de bouchons d’oreilles pour retrouver les bras de Morphée.

« Ils déterrent tout dans mon jardin ! »

De plus, les poulets saccagent le village selon The Guardian. « Ils s’introduisent dans nos jardins et déterrent tout ! » » déclare le conseiller paroissial Rod Mackenzie, qui frémit. Non pas qu’il ait enterré quoi que ce soit de confidentiel derrière un bosquet ; sa peur réside dans le fait que les poules attaquent les détritus, ce qui attire les rats… » Ces nuisibles sont d’autant plus nombreux à affluer au village que depuis quelques temps, les curieux viennent constater l’invasion des poules. et leur jettent des graines, nourriture recherchée par les rats. « Ces nuisibles sont des mastodontes et forniquent constamment : ils se reproduisent à toute vitesse ! regrette l’homme de Dieu et conseiller paroissial Rod Mackenzie.

D’autres voient le phénomène sous un jour plus indulgent. Ainsi Graeme McQuade, la quarantaine arrivée de Cambridge : « Pour ma part, je n’ai aucune rancune contre les poules, déclare-t-elle. Je ne savais certainement pas qu’elles se levaient à 4 heures du matin ! Mais disons que ça donne du caractère au village. »

Cammile Bussière

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