Dominique Pelicot l’avait fait savoir par l’intermédiaire de son avocat, Me Met Zavarro, lui, a voulu s’exprimer, s’expliquer. Il a tenu parole ce mardi 17 septembre, à son retour dans la salle Voltaire du tribunal correctionnel départemental du Vaucluse, après une semaine d’absence.
Assis sur une chaise adaptée à ses pathologies, il s’est adressé à la cour, micro en main, jambes croisées. Donnant sa version des faits. D’une voix sanglotante, parfois, et parfois dans une certaine confusion. Lui qui souffre d’une infection rénale, dominait les autres accusés du box des accusés. Des accusés – au nombre de 50 – qu’il a habilement qualifiés de « complices » lorsque les faits d’abus sexuels commis sur son ex-femme ont été évoqués.
« Je n’ai emmené personne. Je n’ai forcé personne à venir, je n’ai pointé une arme sur la tempe de personne. Ils ont tous adhéré au scénario. Ils savaient tous comment ça allait se passer. Ils savaient tout, ils ne peuvent pas dire le contraire. Ils savaient…
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