7.600 passagers, une quarantaine de restaurants, sept piscines, neuf bains à remous, autant de bars, «le plus grand parc aquatique en mer» avec six toboggans aux couleurs vives… Lors du lancement en janvier à Miami de l’«Icon of the Seas», les associations environnementales s’étaient insurgées devant ce symbole kitsch du gigantisme assumé des navires de croisière.
Alors que les municipalités ont déjà mis un terme à cette pratique en exigeant que ces ogres flottants s’ancrent loin de leurs centres-villes, l’ONG Transport et Environnement (T&E) dénonce dans un tout nouveau rapport les délires de grandeur des compagnies de croisière. « Les navires actuels sont de véritables monstres des mers, Cruisezillas (mot-valise faisant référence au monstre marin japonais Godzilla)déplore Fanny Pointet, responsable du transport maritime chez T&E France. Ils passent le Titanesque pour un petit bateau de pêche.
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