« Ils étaient là quand je me suis effondré »

Désormais grands, les six enfants d’Angelina Jolie foulent régulièrement le tapis rouge aux côtés de leur mère. Et cette nouvelle première au New York Film Festival ce dimanche 29 septembre n’a pas fait exception. Alors qu’elle présentait son dernier film, un biopic sur la chanteuse Maria Callas intitulé Mariel’actrice est venue accompagnée de ses trois enfants aînés : Maddox (23 ans), Pax (20 ans) et Zahara (19 ans).

Pour l’occasion, les enfants de l’actrice et de Brad Pitt étaient tirés à quatre épingles. Maddox était vêtu d’un costume noir impeccable, Pax, tout sourire, était caché derrière ses lunettes de soleil noires et Zahara rayonnait dans une robe en satin blanc au décolleté plongeant. Bras dessus bras dessous, le petit quatuor semblait plus soudé que jamais.

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Et si l’actrice a emmené ses enfants sur le tapis rouge, c’est parce que leur soutien comptait plus que tout. « Vous savez, avant de commencer un nouveau film, vous êtes nerveux », a-t-elle déclaré Supplémentaire . Mes enfants m’ont juste dit : ‘Quoi qu’il arrive maman, bonne chance et nous savons à quel point tu travailles dur et nous t’aimons’. »

« Ils m’ont vu pleurer »

L’actrice de 49 ans a également raconté comment ses enfants l’ont soutenue au début du tournage, lorsqu’elle se sentait nerveuse à l’idée d’incarner la chanteuse saluée comme l’un des plus grands talents du XXe siècle. « Mes garçons étaient avec moi sur le plateau. (…) Ils m’ont vue apprendre à chanter, ils m’ont vue m’entraîner, ils m’ont vue nerveuse, dit-elle. Ils étaient là la première fois que j’ai dû le faire et j’étais terrifiée, et ils étaient là quand j’ai craqué en pleurant… C’était donc un moment intéressant qui nous a permis de nous rapprocher d’une autre voie.

Une émotion qu’elle a finalement choisi de ne pas réprimer devant ses enfants. « Beaucoup d’entre nous qui avons des enfants savent que nous ne pleurons pas souvent devant nos enfants ni ne leur montrons certaines choses », a-t-elle poursuivi. « Donc, le faire, leur dire que ce n’est pas grave et être là les uns pour les autres a été quelque chose de très spécial. »