Il y a un « » Conscience des nouvelles générations « Et un » Changement des manières Pour restaurer les œuvres pillées en Afrique, affirme Ernesto Ottone, directeur général adjoint de la culture des Nations Unies.
« » Il y a la pression de la rue Pour le retour des œuvres pillées lors de la colonisation en Afrique, a déclaré Ernesto Ottone, directeur adjoint de la culture de l’UNESCO lundi, évoquant un » Changement des manières ». L’organisation des Nations Unies organise aujourd’hui Addis-Abeba, la capitale éthiopienne, une conférence réunissant des représentants des 54 États du continent pour discuter de la question du retour et de la restitution des biens culturels en Afrique.
Au retour des œuvres pillées, » Cela fait cinq ou six ans que nous voyons qu’il y a une pression dans la rue En Afrique, a déclaré dans une interview de l’AFP Ernesto Ottone, ancien ministre chilien de la culture. « » Lorsque nous parlons à la nouvelle génération qui va aux musées d’Europe, ils ont une vision critique face à ce qu’ils voient « , A-t-il poursuivi, voyant un » Conscience des nouvelles générations « Et un » Changement des manières ». Plusieurs pays européens se sont engagés ces dernières années dans un long processus de retour des œuvres d’art pilées pendant les périodes coloniales, » Un sujet complexe Qui dépend des lois dans les différents pays, maintient Ernesto Ottone. « » Mais même dans les pays où le dialogue n’est pas entraîné à 100%, nous voyons que les efforts proviennent des universités ou des musées « , Dit-il.
En France, ancien empire colonial du 16ee siècle à la première moitié du xxe Century, quelque 90 000 objets d’Afrique subsaharienne sont conservés dans les musées publics, dont 79 000 dans le Quai Branly, selon un rapport de 2018. Plusieurs pays ont depuis envoyé des demandes de restitution. Mais pour chaque demande, une loi est nécessaire pour » rétrograder »Les marchandises et permettent leur sortie des collections. À la fin de 2020, le Parlement français a ainsi adopté une loi autorisant le retour final au Bénin de 26 œuvres du Trésor royal d’Abomey, Warlife française en 1892.
Depuis lors, la France n’a accordé des prêts, comme fin novembre, avec le rapatriement du tambour Djidji Ayokwe en Côte d’Ivoire, ou le prêt à Madagascar de la couronne de la reine Ranavalona III, qui a été conservé au musée du musée du musée du musée du musée du musée du musée du musée du musée du musée du musée du musée du musée du musée du musée L’armée à Paris. D’autres pays, y compris le Royaume-Uni ou l’Allemagne, font l’objet de demandes de restitution des biens culturels pillés pendant la colonisation.
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